Nous conservons une légère surpondération des actions américaines, estimant qu’une récession imminente est peu probable estime Diego Gilsanz, stratégiste chez JP Morgan AM, dans sa dernière note de conjoncture.

• Le mois d’octobre a été le plus mauvais depuis 2012 pour les actions internationales, tous les grands marchés finissant le mois en baisse. Les investisseurs craignent de plus en plus que les bénéfices des entreprises aient atteint leur point culminant du cycle, tandis que les risques géopolitiques persistants continuent de peser sur le sentiment des investisseurs.

• Les conditions économiques sous-jacentes se sont légèrement affaiblies à l’échelon mondial, et notamment en dehors des États-Unis, mais pas suffisamment pour justifier une baisse généralisée des actions au vu du rythme toujours soutenu de la croissance mondiale.

• Les obligations souveraines n’ont pas joué leur rôle de protection contre les fluctuations des actions. Les rendements sont solides, les banques centrales ne montrant aucun signe de fléchissement dans leurs politiques de resserrement monétaire.

• Nous avons continué à modérer notre biais pro-risque ; bien qu’elle se soit ralentie, la croissance mondiale reste solide. Nous conservons une légère surpondération des actions américaines, estimant qu’une récession imminente est peu probable. Nous avons également accru notre duration sur les États-Unis à la suite de la récente remontée des rendements.

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