Alors que le Financial Times s’interrogeait en début de semaine sur la liquidité de certains actifs détenus par 3 fonds de H20 (Adagio, Allegro et MultiBonds), voir à ce propos notre article Du rififi chez H20, le patron de la société de gestion répond point par point.

« Pour des raisons de clarté absolue, notre exposition globale à des actifs non liquides se limite strictement à 5% à 10% de l’actif net de chacun de ces trois fonds. Nous soulignons à nos investisseurs que la liquidité n'est pas un problème dans ces fonds. Il reste toujours une partie de cash importante. Nous continuons d’être déterminés à fournir aux investisseurs des mises à jour totalement transparentes sur les avoirs de nos fonds. »

TEXTE EN ANGLAIS DE BRUNO CRASTES

“For absolute clarity, our aggregate exposures to illiquid assets are strictly limited to between 5% and 10% of each of these three fund’s net assets. We would emphasize to our investors that liquidity is not an issue in these funds. Significant cash remains on hand. We continue to be committed to providing investors with fully-transparent updates as to our funds’ holdings.”

* L'exposition à ces instruments est très faible par rapport aux expositions significatives sur les marchés des obligations souveraines et des devises des trois fonds mentionnés dans le document ci-joint.

* Les expositions sont limitées à environ 5% à 10%.

* Il y a une trésorerie importante disponible dans les fonds en question. Une grande partie des positions est financée par des contrats à terme et des contrats sur devise.

* H2O a clairement publié dans ses fiches mensuelles les expositions de ses fonds aux obligations non notées.

* Les expositions aux titres liés à Windhorst vont de 0,2% à 2,7% de l'actif net par fonds.

* Ces obligations ont été émises par des sociétés totalement indépendantes dans divers secteurs.

* Ces obligations offrent une véritable diversification par rapport aux autres positions obligataires.

* La relation entre H2O et Windhorst a été gérée en accord avec des procédures de conformité strictes.

Pour lire l’intégralité du document publié par H2O (en anglais), cliquez ICI.