Une approche transparente est essentielle, en particulier lorsqu'il s'agit de mesurer les actifs ESG et d'évaluer les antécédents en matière de proxy voting.

Anne de Lanversin

Dans ce qui est devenu un environnement réglementaire plus actif en matière d'ESG, et pour répondre à la demande croissante des investisseurs, les gérants font face à une pluralité de sujets, allant de l'offre de produits ESG à des campagnes dédiées à l'écologie. Dans un monde où le classement est devenu l'un des principaux facteurs de décision, il n'est pas surprenant de voir comment les asset managers tentent désormais de se dépasser les uns les autres en matière d'indicateurs ESG, tels que les investissements verts, le vote par proxy et la couverture médiatique.

Cependant, classer les sociétés de gestion d'actifs en fonction de leurs compétences ESG n'est pas aussi simple qu'on pourrait l'imaginer. Abordé dans un précédent livre blanc de DWS intitulé « A l'assaut des dragons ESG », l'incohérence des données a longtemps été un problème difficile dans cet univers. Dans ce document, nous révélons trois pièges majeurs à surveiller lors de l'évaluation des références des sociétés de gestion d'actifs en ce qui concerne les indicateurs clés de performance ESG.

dnca sommes nous a la veille d'un changement de cycle ?

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