Vous trouverez ci-dessous les annonces de La Compagnie des CGP et de l'ANACOFI concernant leur soutien à Patrimonia.
Dans une période et conjoncture particulièrement difficile, il semble normal de pouvoir redonner une dynamique positive à notre profession de CGP. La dimension de PATRIMONIA regroupant l’ensemble des secteurs d’activité de notre profession, sa position géographique en province sont autant de points positifs où l’ensemble des membres de LA COMPAGNIE DES CGP aiment se retrouver régulièrement.
Nous faisons partie des acteurs participant activement au développement économique de notre pays et PATRIMONIA est depuis 20 ans un point de repère pour les professionnels que sont les CGP.
Plus que jamais se sentir solidaires les uns des autres est important, et dans le contexte actuel, il y a des moments où l’échange et la communication sont nécessaires et rassurants.
Par ailleurs, il ne faut pas oublier que ce congrès permet aux cabinets de province de pouvoir rencontrer leurs partenaires, ainsi que tous les acteurs de la profession sur 2 jours en 1 seul déplacement, et ainsi de gagner du temps et de l’argent.
Chacun est bien évidemment libre de venir ou pas, mais pour toutes les raisons évoquées ci-dessus LA COMPAGNIE DES CGP sera présente à PATRIMONIA parce que c’est le rôle d’une association professionnelle d’aller à la rencontre de ses adhérents. Et quel lieu plus approprié que le congrès annuel de la profession ?
Philippe FEUILLE, Président de La Compagnie des CGP
Il n’y a pas tant d’exemples de métiers qui ont vu s’imposer une Convention de très grande taille et encore moins en Province.
Or notre profession, celle des CGP qui s’est tant plainte de sa non reconnaissance par le passé et qui aujourd’hui génère plus de 20 évènements de bonne taille, de multiples road-shows et voit émerger des ETI, tout en conservant ses milliers de petites entreprises, a réussi à le faire.
Au moment où nous sortons à peine de nos confinements et où, loin de l’interdit de nous rassembler, le Gouvernement donne le top départ à compter de début Septembre pour tous les grands évènements, il ne nous parait pas même nécessaire, mais juste « normal » que Patrimonia se tienne. Que ceux de la profession qui veulent revivre s’y retrouvent, sauf bien entendu, à dire que les 15 salons et conventions prévus en fin 2020 doivent tous et toutes disparaitre. Nous comprenons certaines décisions individuelles de chefs d’entreprises, de nos membres ou pas, inquiets pour leurs équipes. Mais alors, quid de ce redémarrage, pas seulement autorisé par le Gouvernement, mais demandé ? Il ne se ferait étonnamment qu’en décembre ?
A l’heure où nombre de professions sont heureuses de voir leurs évènements « envisager » d’exister, serons-nous l’une des seules à mettre une balle dans le pied de nombres d’entre eux, à commencer par le plus important ? Pourquoi celui-là ?
Il appartient à chacun, individuellement, de décider s’il viendra ou non, mais l’ANACOFI ne peut pas assumer une posture qui consisterait à dire de ne pas relancer l’économie et notre écosystème, ni devant les professionnels, ni devant les instances dans lesquelles nous nous retrouvons avec les représentants d’autres métiers, ni devant les autorités.
Comme nous l’avons dit depuis le début de cette crise, nous soutenons pleinement tout l’écosystème et tous les évènements qu’il produira au bénéfice de tous et pas d’un seul, à commencer par Patrimonia. Nous serons heureux d’y retrouver nos membres et les autres participants, avec ou sans masques et nous maintiendrons notre semaine Lyonnaise d’avant Convention, ainsi que notre table ouverte de la veille.
David CHARLET, Président de l’ANACOFI
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