Nous vivons désormais plus longtemps et cela est devenu une source de préoccupation : les générations précédentes s’en seraient réjouies et auraient peu goûté notre pessimisme. Mais les technologies permettant d'économiser de la main-d'œuvre rendues possibles par l’intelligence artificielle alimentent la crainte d’une raréfaction du travail.
Parallèlement, un débat a lieu pour savoir si les efforts entrepris par l’humanité pour réparer les dégâts climatiques depuis la première révolution industrielle jusqu’à aujourd'hui sont insuffisants ou mal appliqués à l’heure de la frénésie verte. L’air du temps est clairement dystopique. Ce pessimisme est parfaitement justifié : le changement climatique est une menace existentielle et les lignes de fracture, sociales et économiques, sont de plus en plus manifestes. Cela étant, il y a des raisons d’être optimiste. Les technologies dont nous nous méfions peuvent se révéler libératrices. La question est de savoir comment l’humanité décidera de les appliquer.
Dans cette série d’articles, Invesco interroge des experts de la longévité, de l’intelligence artificielle, du développement durable et d’autres sujets. L'objectif est d’examiner le lien entre ces domaines passionnants et la finance, d’analyser les défis qui nous attendent, de voir si nous pouvons les surmonter et de voir comment l’art du possible pourrait devenir la science du réel.
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