Les investisseurs ont de nombreux nouveaux paramètres à intégrer, positifs comme négatifs. Tout d’abord, la déferlante Omicron pèse davantage à court terme, mais ouvre la voie à une ère dite endémique, où l’impact du coronavirus serait de moins en moins néfaste pour l’économie. Ensuite, on assiste à une forte demande des biens et des services, vouée à s’accélérer, mais bridée par la pénurie des composants et des perturbations dans toute la chaîne mondiale d’approvisionnement. À cela, s’ajoute un nombre record d’emplois toujours non pourvus par des salariés qui se sont retirés, provisoirement ou non, du marché du travail. 

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par Arnaud Benoist VidalAnalyste macroéconomique - Gérant du fonds Arc Actions Santé Innovante

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